Voici les commentaires pour cette belle brochette !
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Composition : 1 Stellwar Boum immersif, aspire, inspiration rythmée, et doum dac doum la basse lance un riff de percu industrielle dans une ambiance angoissante de machines arachnoïdes
.. et la batterie lance une machine maléfique, comme une horde de pilleurs de décharge façon Mad Max - Chrono Trigger. La guitare donne une voix attendue à cet ensemble, et la chorale débarque dans un ensemble de plus en plus intense et surcharge jusqu'au brouhaha hystérique ! on ne sait plus ou taper.. Et le son éclate pour revenir à ces effets étourdissants du début.
Stellwar, baston interplanétaire ? Ca le fait bien. J'ai plutôt vu des machines et des hordes armées post-apocalyptiques, et peut être dans le tas il y avait un volcan pour faire le décor.
Hugues ?
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Composition : 2 Techrup Pad doup doup, nappe bourdonnante façon 80's, oh yes, trois notes nostalgique, volutes scintillantes aérienne comme une soucoupe volante. Un drone indien, sur lequel rebondissent des notes de pad comme des percussion rondes, et une mélodie syncopée.. Et puis boum la grosse percu électro qui tache, sur les synthés de JeanMiche ! Ascenseur atmosphérique, fchioouuuu décollages en série, c'est un vrai astroport en période de pointe ! Le beat revient, sur fond de frottement rythme, jusqu'au climax, titubant et ruiné.
Belle fresque dans un matériau homogène, plus SciFi électro, plutôt lisse et technologique pour vraiment figurer une éruption naturelle et chaotique.
Hmm je sais plus qui donne de l'électro comme ca.. Switch ?
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Composition : 3 Terredefeux Orchestral, cordes à nu, violon expressif, presque un erhu chinois, des touches rondes nous font passer à 4 temps. Et voila un violon oriental ou manouche qui développe l’ambiance en intrigue... et puis rythmique scandée de corde sur un thème héroïque aux cuivres. Et tracaboum, gémissements d'instru orchestraux, c'est un énorme animal sauvage qui rugit, comme une bette blessé qui se débat et menace. Les instru partent chacun en autonomie pour exprimer un désordre assez coordonné d'angoisse et tension. Et toc, ça finit.
La Terre de Feu, un territoire sauvage et solitaire, puis aborde par de fiers conquérants, mais ils sont accueillis par des bêtes monstrueuses, ou peut être bien en fait une montagne verte qui passe de décor paradisiaque a un cataclysme en action !
Florent ?
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Composition : 4 Erruptionspatiale Petite vague d'intrigue orchestral, voix chorale, ricochets de pad électro (décidément !) , La chorale continue ses récitation de voyelle, un grillon sonne, un mouette répond, le rythme prend. Des sons hétéroclites s'ajoute a cette marche rapide, un chat, un corbeau, un paquebot, des synthés s'envolent vers l'incandescence, d'autres sons électro piaffent. Le tout réaterrit dans le calme.
Un peu comme la 2, on est plutôt dans le lisse des synthés, avec en plus tout le zoo ! Difficile de voir l'épaisseur rugueuse d'une montagne de feu en éruption.
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Composition : 5 Eruption Partition bien carrée sur ses 3 temps, avec caisse claire et cordes presque 16bit, une chorale féminine pour des notes répétées sur un motif harmonique familier. Changement de rythme a 7 temps (j'aime bien!) puis retour sur les 3 temps bien gentils.
Peut être que chez ce peuple joyeux les éruptions volcaniques sont un signe auspicieux accompagné par une grande fête au village avec un barbecue d'ours à la bière ?
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Composition : 6 Fagradalsfjall lava eruption
Dédicace à un certain volcan Islandais brise-noix
L'orchestre arrive tout progressivement entre ce cor, les cordes et une cymbale progressive. Le cor se démultiplie, monte et lance une action, progressivement conduite. On sent une menace progresser, assez visuelle mais pas encore identifiée.. Il y a des éclats irréguliers, la tension tient en haleine. J'aime bien la percu claire qui donne ce mouvement continu et tendu. Une dernière montée et boum ça finit.
Un style narratif qui économise les moyens pour maintenir un dévoilement progressif, puis une séquence plus uniforme, faite d’explosions et de tension. Pas mal pour un volcan façon film à suspens !
Florent à nouveau ?
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Un plaisir d’avoir tant a écouter, et en variété aussi ! Beaucoup d’électro, un parti pris métallo rugissant qui colle avec la violence mais un peu trop humain à mon goût, ou du moins régulier comme des machines brutales. A l’oppose, la 5 est une danse joyeuse.. Les options orchestrales épiques, la 3 et 6, fonctionnent mieux sur ce thème pour moi, et c’est la 3 qui est la plus variée et scénarisée, pleine de contraste et d’expression orchestrale, avec une éruption riche en désordre et brutalité naturelle. La 3 !