[Shadoko Flûte à nez]

C'est très connu mais j'ai écouté que très récemment : Les Planètes de Gustav Holst.

Ca date du début XXème (1914-1916), c'est en 7 mouvements (un par planète sauf Terre et Pluton), et chacun est une merveille. Une ambiance très très John Williams pour Star Wars (on sait d'où vient son inspiration maintenant ) et très filmique en générale, mais avec une vraie forme symphonique. C'est vraiment à couper le souffle. Je conseille particulièrement Mars, Jupiter et Uranus.

Lien Deezer

Bonne écoute !


[/url]

[François]

Je connais pas mal depuis la nocturne "le Chant des Planètes" !

[Raul Où es-tu ?]

Je suis très fan aussi. Une bonne partie de mes "connaissances" en orchestration provient des Planètes !
Mes morceaux préférés : Mars (ultra fondateur), Jupiter (dont le magnifique thème central s'entend lors de toutes les rencontres internationales de rugby^^) et Neptune (le morceau le plus cosmique, le plus fascinant)

En dehors des Planètes, je vous recommande deux morceaux d'Holst, de moindre envergure mais à l'esprit d'innovation extrêmement intéressants :
- Dance of the Spirits of the Water (The Perfect Fool) : un petit morceau qui retranscrit l'esprit aquatique de manière totalement hallucinante !
- In The Street of The Ouled Nail (Beni Mora) : ambiance arabisante et répétition du même thème de fond... 135 fois d'affilée, avec un climax assez dévastateur.

[Setzer]

Mars est clairement un manifeste de ce style Hollywoodien, et Uranus est dans cette lignée.
Neptune révolutionne dans un autre style brumeux et intrigant, aussi repris par Williams.
Mon préféré reste Saturne, avec sa marche des Titans dont la première note est renversante !

[Stellar Scie musicale]

J'aime beaucoup aussi.

[Mathieu Bolcato]

Williams, pompeur

Non serieusement, c'est vraiment sympa ! Un ami m'avais conseillé d'écouter.

[Poulpette]

C'est vrai que c'est magnifique. Ceci étant, si je considère l'œuvre dans sa globalité, je me dis qu'elle serait d'autant plus appréciable si elle était mise en images. J'avoue que de l'écouter dans son ensemble « comme ça », j'ai par moment une certaine lassitude qui me gagne, justement parce qu'il y a des passages assez effacés qui, « seuls », sont du coup un peu fades à mon goût.